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Ministres

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Talia Davids

Ministre de la Santé

Santé publique

À l'heure où les droits des femmes ne sont toujours pas évidents, où la crise sanitaire fait pression sur notre système de santé et où la crise énergétique fait de même sur nos portefeuilles, nous ne pouvons plus rester sans rien faire. Le moment est venu de faire preuve de courage politique et de faire ce que des générations de politiciens avant nous n'ont pas réussi à faire : garantir au maximum le droit des femmes à l'autodétermination, libéraliser l'avortement et fédéraliser à nouveau le département de la santé publique. La Belgique manque encore chaque année à l'appel pour 500 femmes, qui doivent se rendre aux Pays-Bas pour recevoir des soins appropriés en raison de notre délai d'avortement limité. La Belgique n'est pas à la hauteur dans sa politique de prévention, qui pourrait réduire considérablement le nombre d'examens nécessaires. Et la Belgique ne parvient pas à mettre en place un service de santé publique efficace, qui ne s'enlise pas dans des discussions interminables entre différents niveaux politiques, qui coûtent également beaucoup d'argent aux citoyens. Mais la Belgique peut faire mieux, et c'est là que je veux apporter ma contribution, avec les sénateurs et sénatrices de cette année..

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Yoachim Pieders

Ministre de l'Intérieur

Minister van Justitie

Loi sur les armes à feu

Notre société a atteint un point où nos forces de police sont surchargées de toutes sortes de tâches qui ont un effet pernicieux sur l'efficacité de nos services. Tant physiquement que mentalement, nos agents sont surchargés. Par conséquent, mon projet de loi se concentrera sur la réduction du fardeau de nos forces de police. Je le ferai notamment en légalisant les sprays au poivre et les tasers. Les Belges paient l'un des impôts les plus élevés au monde, il est donc normal que nous confions davantage de responsabilités à nos citoyens. En outre, nous supprimons les moments pénibles que les femmes doivent vivre chaque jour après une soirée. Le spray au poivre ou le taser sont la solution idéale. En plus, nous transférons certains pouvoirs de police à des entreprises externes, comme le soin et la protection des animaux sauvages. Enfin, je supprime les gardiens de la paix et nous les remplaçons par une police d'Ordre public qui peut et veut agir efficacement. Avec ce projet de loi, nous donnons à nos citoyens plus de responsabilités, mais en même temps nous assurons un corps de police fort et efficace pour contrôler ceux qui sortent des sentiers battus.

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Sarah Lélé

Ministre de l'égalité des chances

Décolonisation

Mon projet de loi aborde la thématique de la décolonisation. Il s’axe sur 4 pans principaux. Tout d’abord nous traiterons la restitution des choses aliénées pendant la colonisation aux anciennes colonies, qu’il s’agisse d’œuvres d’art, d’objets culturels ou de restes humains. Ensuite, après l’avoir définie, nous évoquerons la réparation de la dette coloniale tant morale qu’économique. Troisièmement, nous nous arrêterons sur le Musée de l’Afrique centrale, son rôle aujourd’hui et les changements nécessaires à son encontre. Et enfin, nous définirons ce qu’est le « crime de la recontextualisation coloniale » pour l’ériger en infraction pénale.

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Youssef Sbihi

Ministre de la Justice

La prostitution

Mon projet de loi porte sur la règlementation de la prostitution. En plus de donner une définition claire de la prostitution dans la loi, ce projet de loi vise à donner aux prostitués la possibilité d’organiser eux-mêmes leur pratique, que ce soit individuellement ou collectivement de manière démocratique, et ainsi de leur offrir une alternative humaine aux maisons closes gérées par des proxénètes, qui sont trop souvent le cadre de violation des droits humains les plus fondamentaux. Ce nouveau cadre juridique permettrait également d’assurer l’accès aux droits sociaux à tous les prostitués. Afin d’inclure la parole des prostitués dans tout débat futur les concernant, une instance représentative des prostitués serait créée au niveau national, qui constituerait un interlocuteur privilégié pour l’exécutif et le législateur. Enfin, des centres spécialisés dans l’accompagnement des travailleurs du sexe seraient créés sur tout le territoire, où seraient présents des assistants sociaux et des agents de police formés à cette problématique spécifique.

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